Après deux lauréates cette année - Tatiana Budtova, enseignante-chercheure au CEMEF (CNRS-Mines-ParisTech) récipiendaire de la médaille d'argent du CNRS et Louise Purdue, chargée de recherche CNRS au CEPAM (CNRS-Université Côte d'Azur) récipiendaire de la médaille de bronze du CNRS - une nouvelle récompense vient saluer les scientifiques azuréens !
Chaque année le CNRS récompense celles et ceux qui ont le plus contribué à son rayonnement et à l’avancée de la recherche. Le cristal collectif distingue des équipes de femmes et d’hommes, personnels d’appui à la recherche, ayant mené des projets dont la maîtrise technique, la dimension collective, les applications, l’innovation et le rayonnement sont particulièrement remarquables.
En Côte d'Azur, un cristal collectif est attribué cette année à l'équipe en charge du projet "Base OMERO UCA", projet soutenu par l’Académie 4 de l'IDEX JEDI.
Toutes nos félicitations aux scientifiques qui ont oeuvré à ce projet :
- Frédéric Brau, ingénieur de recherche CNRS à l'IPMC (CNRS-Université Côte d'Azur) et responsable du projet OMERO
- Sophie Abelanet, ingénieure d'études CNRS à l'IPMC (CNRS-Université Côte d'Azur) et ingénieure expérimentation, instrumentation biologiques
- Faisal Bekkouche, ingénieur d'études CNRS au LBDV (CNRS- Sorbonne université) et ingénieur informaticien
- Sameh Ben Aicha, ingénieure à l'IMEV (CNRS- Sorbonne université) et experte en microscopie et analyse d'images
- Christophe Blanchet, ingénieur de recherche CNRS à l'IFB core (CNRS-Inserm-INRIA-CEA-INRAE) et administrateur systèmes et réseaux/Bioinfor.
Le projet Mutimage UCA soutenu par l' Académie 4 de l'Idex UCA JEDI, est de proposer à l'ensemble de la communauté en sciences de la vie de l'Université Côte d'Azur (UCA) un outil cadrant les processus de gestion des images et donnant un accès aux ressources de façon complètement délocalisée. Cet outil conçu pour le partage des images permettra aussi à la communauté locale de bénéficier plus largement des outils d'analyse d'image développés sur la plateforme MICA. Le projet s'appuie sur une base de données OMERO installée et gérée pour la partie hardware en partenariat avec l'Institut Français de BioInformatique.
