Ce procédé s’appuie sur le concept original
de l’électrochimie bipolaire : sous l’effet
d’un champ électrique, une des
extrémités d’un objet métallique
croît tandis que l’autre extrémité se
dissout. Grâce à cette
auto-régénération permanente, des objets se
déplacent à des vitesses de l’ordre d’une
centaine de micromètres par seconde. Publiés dans le
Journal of the American Chemical Society, ces travaux permettent
d’envisager des applications dans les domaines allant de la
nano-médecine à la micromécanique (Lire le
communiqué de presse).