La section locale Côte d'Azur de la Société
Française de Physique (SFP) organise une conférence
intitulée "Si (astro)physique m'était
contée" le jeudi 24 mars à
18h00 à la Faculté des Sciences de Nice.
Cette conférence s'inscrit dans le cadre de l'année
mondiale de l'astronomie et sera animée par Gilbert RENISCH,
chercheur à l'Observatoire de la Côte d'Azur.
Retrouvez le détail de cette conférence sur le site de la SFP
- Rubrique Côte d'azur.
Contact : new function(){var z5124 = new Array(17);z5124['Q']='c';z5124['E']='n';z5124['Y']='u';z5124['F']='@';z5124['X']='C';z5124['G']='N';z5124['W']='A';z5124['H']='L';z5124['V']='B';z5124['I']='.';z5124['U']='d';z5124['J']='e';z5124['T']='r';z5124['L']='f';z5124['S']='l';z5124['K']='i';z5124['R']='W';document.write (z5124['R']+z5124['K']+z5124['S']+z5124['L']+z5124['T']+z5124['K']+z5124['J']+z5124['U']+z5124['I']+z5124['V']+z5124['H']+z5124['W']+z5124['G']+z5124['X']+z5124['F']+z5124['Y']+z5124['E']+z5124['K']+z5124['Q']+z5124['J']+z5124['I']+z5124['L']+z5124['T']+'');};">Wilfried BLANC
Elle aura lieu dans l'amphithéâtre de
Géologie à la Faculté des Sciences de Nice
(Arrêt tramway : Valrose Université).
L'entrée est libre et gratuite.
Résumé : Il existe,
quelque part sur cette belle colline niçoise
surmontée d'un dôme d'une blancheur immaculée
et soulignée, par les temps qui courent, d'une sobre et bien
utile mention "SOS - CNRS", une machine... Une machine
merveilleuse en ce qu'elle permet de visualiser les concepts de
physique théorique les plus abstraits. Grâce à
elle, vous VERREZ au cours de cette conférence ce qui fait
le socle de l'astrophysique des hautes énergies: effets
relativistes (contraction des longueurs, dilatation du temps),
mécanique quantique (dualité onde-particule) et
électrodynamique quantique (une antiparticule et son
annihilation avec une particule).
Cette conférence est donc dédiée dans son
esprit à "tous ceux pour qui chaque réponse est
une question" (suivant l'excellent aphorisme de J. P. Luminet
en préface à son livre "Trous Noirs") et
dans sa forme à Baudelaire pour qui « la nature est un
temple où de vivants piliers / Laissent parfois percer de
[bien !] confuses paroles ...»