Une équipe internationale de chercheurs coordonnée
par des chercheurs français dont Marco Delbo, chargé
de recherche CNRS, et Guy Libourel, professeur à
l’Université de Lorraine, Observatoire de la
Côte d’Azur, ainsi que Patrick Michel, directeur de
rehcerche CNRS, Clément Ganino et Chrystèle Verati,
maîtres de conférence à
l’Université de Nice Sophia Antipolis, en
collaboration avec des chercheurs d’institutions
américaines1, a démontré pour la
première fois qu’un mécanisme appelé
«fatigue thermique» permet d’expliquer la
présence d’une couche de particules fines
(appelée régolite) observée
systématiquement à la surface des petits
astéroïdes et qui restait à élucider. Ce
travail est publié dans le numéro du 10 avril 2014 de
la revue Nature. Communiqué
de presse