Un nouveau documentaire produit par CNRS Images, Sens cachés des cétacés est visible sur le site de la Vidéothèque. Ce film nous fait découvrir un groupe de globicéphales au large des côtes espagnoles. Ces animaux possèdent le sens du goût et de l’odorat et s’en servent chaque jour pour communiquer et assurer leur subsistance …
Le CNRS a attribué ce 15 mars une grande partie de ses Talents 2018. Les médailles d’argent, de bronze et de cristal, qui récompensent des chercheurs, ingénieurs, techniciens et administratifs, distinguent cette année 40 femmes et 42 hommes. La médaille d’or du CNRS, la récompense scientifique la plus prestigieuse de France, et les médailles de l’innovation du CNRS seront attribuées en septembre prochain.
Dans le cadre de la mise en place du télétravail au CNRS, la DRH a lancé une enquête auprès de l’ensemble des agents permanents et contractuels rémunérés par l’établissement. Cette enquête, anonyme et sur la base du volontariat, traduite en anglais, est accessible jusqu'au 30 mars 2018, à partir d’un lien adressé par courriel aux agents concernés.
Le guide, destiné à toute personne concernée par l'organisation et la mise en œuvre d'expériences liées à l'utilisation de radionucléides, traite des principaux sujets d'ordre administratif, technique, médical et environnemental.
La revue de presse du CNRS en Chine de février 2018 dédiée au "Développement universitaire chinois et aux principales données statistiques" est parue.
Dans le cadre de la visite du président Emmanuel Macron en Inde, en présence de la ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Frédérique Vidal, le CNRS a signé trois accords de coopération scientifique avec ses partenaires indiens, l'Indian institute of science Bangalore, l'Indian institute of technology Madras et l'Ashoka university.
La start-up Hoomano et le Laboratoire d'informatique en image et systèmes d'information ont créé le laboratoire commun Behaviors.AI afin de rendre l'interaction avec les robots sociaux plus naturelle et plus instinctive, notamment grâce à des techniques d'apprentissage développemental.
Une équipe du Centre de nanosciences et de nanotechnologies a mis au point une puce microfluidique qui, grâce à des fentes de dimensions nanométriques, permet d’attribuer à une molécule un « code-barre » lisible par lecture optique en fluorescence. Cette nouvelle technique permet d’identifier la molécule en quelques minutes seulement, contre plusieurs heures à plusieurs jours auparavant.
La prochaine séance des Mardis de l’innovation au CNRS, dédiée à l'énergie embarquée et aux batteries, aura lieu le 20 mars 2018. Clôture des inscriptions : 20 mars 2018.
Le Comité consultatif national d'éthique invite les citoyens à donner leur avis dans le cadre des "États généraux de la bioéthique" sur des sujets liés aux progrès scientifiques et technologiques jusqu'au 30 avril 2018.
La Fondation de France lance un appel à projets de recherche fondamentale et translationnelle sur l’étude des résistances aux traitements du cancer, dans le cadre d’hémopathies malignes ou de tumeurs solides. Date limite des candidatures : 4 avril 2018.
L'Académie des sciences décernera le grand prix IMT (30 000 euros) et le prix espoir IMT (15 000 euros) aux lauréats de projets dédiés aux sciences et technologies de la transformation numérique dans l’industrie, de la transition énergétique et l'ingénierie de l’environnement. Date limite des candidatures : 24 avril 2018.
Le Conseil norvégien de la recherche propose des financements, dans le cadre du programme INTPART, pour accompagner des collaborations de recherche franco-norvégiennes avec l'industrie ou liées aux programmes cadres européens. Date limite des candidatures : 25 avril 2018.
La Fondation Pour l’Audition décernera le grand prix scientifique international (100 000 euros) et le prix émergence scientifique (40 000 euros) à des lauréats en reconnaissance de leurs avancées scientifiques dans les sciences de l'audition. Date limite des candidatures : 20 avril 2018.
Comme dans plus de 40 villes françaises, la Semaine du
Cerveau azuréenne « Le Cerveau du futur »
continue jusqu'au 19 mars 2018 dans
différentes villes partenaires des Alpes-Maritimes, telles
que Antibes, Biot, Cannes, Grasse, Mouans-Sartoux, Nice et Valbonne
- Sophia Antipolis et Villeneuve-Loubet…
À n’en pas douter, avec près de 60
événements pour le grand public et les scolaires, la
semaine du cerveau azuréenne est un événement
important de communication et de culture scientifique porté
par Université Côte d’Azur et ses membres, que
sont le CNRS, l’Université Nice Sophia Antipolis,
l’INRIA, le CHU de Nice, le CIRM, l’OCA….
© CNRS / DR
La conférence inaugurale « L’intelligence artificielle et le vivant » a eu lieu en présence du Député-Maire Jean Léonetti, ce samedi 10 Mars à la salle Pierre Vaneck à Anthéa, à Antibes. Elle fut donnée par le Professeur Jean-Gabriel Ganascia, professeur d’informatique à Sorbonne Université, chercheur en intelligence artificielle au LIP6 (Laboratoire d’Informatique) et Président du comité d’éthique du CNRS. Elle a été suivie d’un débat très riche animé par le Dr. Thierry Viéville de l’INRIA Sophia Méditerranée, spécialiste de l’Intelligence Artificielle.
A mi parcours, nous sommes déjà ravis de la fréquentation, des rencontres qui ont eu lieu avec le grand public et les scolaires. A noter, ce jeudi 15 mars à 19h à Biot, en association avec la Mairie, aura lieu la conférence du Dr. Thierry Viéville de l’INRIA Sophia Méditerranée, spécialiste de l’Intelligence Artificielle, conférence qui s'intitule "Et si au lieu de parler d'intelligence artificielle, je savais comment ça marche ?".
Des expositions, des cafés des sciences et des ateliers scientifiques sont encore à découvrir vendredi 16 mars dans les médiathèques Raoul Mille et Nucéra à Nice, mais également des conférences encore à venir à Cannes, à Mouans-Sartoux, à Nice et Grasse ce week-end.
Enfin, en association avec le CHU Pasteur de Nice, notons également cette journée spéciale SANTE « En direct du cerveau... » qui aura lieu à l’Hôpital Pasteur de Nice (CHU), demain vendredi 16 mars de 9h à 17h.
Les comètes composées de deux lobes, comme « Tchouri » visitée par la sonde Rosetta, sont le produit de la ré-accumulation de fragments générés lors de collisions destructrices entre deux comètes. Ces collisions pourraient aussi expliquer certaines des structures mystérieuses observées sur Tchouri. Cette découverte d'une équipe internationale coordonnée par Patrick Michel, directeur de recherche CNRS au laboratoire Lagrange (CNRS/Observatoire de la Côte d'Azur/Université de Nice-Sophia Antipolis), et a été publiée le 5 Mars 2018 dans Nature Astronomy. Plus d'informations sur le site de l'INSU du CNRS
Dr. Patrick Michel, directeur de recherche CNRS au laboratoire Lagrange (CNRS/Observatoire de la Côte d'Azur/Université de Nice-Sophia Antipolis)
Jupiter possède des bandes nuageuses qui tournent à des vitesses différentes. Depuis près de cinquante ans, l’un des problèmes majeurs en planétologie a été de savoir si ces bandes étaient ancrées en profondeur dans l’intérieur de la planète ou au contraire si elles étaient très minces, comme le jet stream dans l’atmosphère terrestre. L’analyse des données de la sonde NASA Juno a permis de résoudre ce mystère : En mesurant le champ de gravité de la planète cent fois plus précisément que ce qui avait été fait jusqu’à présent et en le comparant à des centaines de milliers de modèles d’intérieur de la planète, il a été possible de montrer que ces vents s’étendent à 3000 km de profondeur, et que plus profondément la planète est en rotation uniforme. Ces découvertes permettent de comprendre enfin la dynamique des planètes gazeuses. Elles vont aussi permettre d’analyser pleinement les mesures de la sonde Juno pour contraindre la composition de l’intérieur de la planète. Ces résultats sont présentés dans trois articles de l’édition du 8 mars de la revue Nature. Site du laboratoire Lagrange
Dr. Tristan Guillot, CR CNRS au Laboratoire Lagrange(CNRS-OCA-UNS)
L'European Southern Observatory (ESO) vient d’annoncer la
première lumière de l’instrument Matisse,
installé au Chili sur le Very Large Telescope (VLT),
l'observatoire astronomique le plus puissant du monde.
Cette première lumière marque la mise en service de
l’instrument après quinze années de
développement, dont une dernière année de
tests au laboratoire J.-L. Lagrange (Observatoire Côte
d'Azur/CNRS/Université de Nice Sophia-Antipolis).
Après ces quelques mois de validation des performances
« sur le ciel », dans les conditions réelles,
l'instrument va être mis désormais à
disposition de la communauté astronomique internationale. En
observant les disques protoplanétaires entourant les
étoiles jeunes, il va permettre de mieux comprendre la
formation de la Terre et de l'ensemble des planètes.
L’instrument Matisse (Multi AperTure mid-Infrared
SpectroScopic Experiment) est l'un des rares projets dont la France
a la responsabilité auprès de l’ESO. Site de
l'OCA
Pour rappel le Reportage FRANCE 3 Côte d'Azur
(ci-dessous)
MATISSE, un nouvel outil pour comprendre la formation des
planètes
Bruno Lopez, astronome OCA
Des chercheurs de l’Institut de Chimie de Nice (CNRS-Université Côte d’Azur) et du Laboratoire ARNA (CNRS-INSERM-Université de Bordeaux) ont criblé la Chimiothèque Essentielle, constituée de 640 composés et faisant partie de la Chimiothèque Nationale, et ont découvert que des dérivés héteroaromatiques de polyamines inhibent la production de microARN oncogènes au niveau du cancer gastrique de manière sélective et induisent ainsi une inhibition de la prolifération des cellules cancéreuses. Ces travaux ont été publiés le 26 janvier 2018 dans la revue Scientific Reports.
Maria Duca, CR CNRS à l'Institut de Chimie de Nice (CNRS - Université Côte d'Azur)
Le laboratoire INPhyNI organise une conférence interdisciplinaire sur les ondes nonlineaires au printemps 2019 intitulée "Waves Cote d'Azur: a transdisciplinary conference on nonlinearity and disorder in wave phenomena". Twitter : @wavescotedazur
Dr. Stéphane Barland, CR CNRS à INPhyNi , Institut de Physique de Nice
Lors de l’éjection par un engin de type catapulte, les gouttes et les solides élastiques peuvent être des projectiles plus efficaces que les objets rigides. La compréhension de ce phénomène devrait permettre d’optimiser les transferts d’énergie pour les technologies balistiques. ... Plus d'informations sur le site de l'INP
Franck Celestini, MCF à l’Université Côte d’Azur
La Fondation Nestlé
France attribue chaque année trois Bourses scientifiques
dotées de 20.000 euros chacune à de jeunes chercheurs
dont les projets portent sur l’alimentation dans ses
dimensions biologiques, sociales ou humaines. L’objectif de
ces bourses est de soutenir des candidats en fin de thèse ou
de leur permettre d’avoir une expérience de recherche
postdoctorale. La vocation de la Fondation Nestlé
France est de favoriser la transmission de la culture alimentaire
française. Cela implique une connaissance approfondie des
pratiques qui constituent cette culture (produits alimentaires et
boissons, préparations culinaires, composition des repas,
ritualisation des consommations, commensalité des repas,
lieux, contexte et temporalité, modalités du plaisir
et du partage…) ainsi que l’identification et la
protection de ses aspects les plus favorables pour la santé.
Les candidats doivent appartenir à un laboratoire de
recherche français, avoir 35 ans maximum, être soit
inscrits en thèse depuis au moins deux ans, soit être
titulaires d’un doctorat. Les candidats ont jusqu’au
27 avril inclus pour envoyer leurs dossiers.
Plus d'informations
Ambitieux et original, voilà un MOOC portant sur le
« Développement Socialement Durable »
réalisé par des scientifiques azuréens dont
Damien Bazin, MCF et chercheur au GREDEG (CNRS-UNS).
Ce MOOC allie recherches de pointe et vulgarisation. Il
s’adresse par conséquent aussi bien aux citoyens, aux
étudiants (master de préférence), aux
chercheurs et est
accessible sur la plateforme France Université
Numérique. Une vidéo de présentation du cours
est également disponible sur cette page.
Damien Bazin, MCF, Directeur Licence/Master SEDI, Référent L2 EG (ISEM) et chercheur au GREDEG (CNRS-UNS)
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