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Des scientifiques ont développé un modèle mathématique capable de prédire une prochaine vague du COVID-19 en Europe.

Le procédé de traitement au CO₂ supercritique, mis au point à l'Institut de chimie de la matière condensée de Bordeaux, permet de nettoyer et décontaminer des masques chirurgicaux ou FFP2, sans nuire à leur capacité de filtration.

La campagne d'accueil en délégation des enseignantes-chercheuses et enseignants-chercheurs pour activités de recherche au CNRS est ouverte jusqu’au 22 octobre 2020. Les prises de fonctions interviendront le 1^er septembre 2021 ou le 1^er février 2022.

Le 7^e plan d'orientation de la formation du CNRS pour les années 2020-2023 est organisé autour de trois grands objectifs : contribuer par la formation à l’excellence scientifique et technologique, accompagner le développement des agents dans la dynamique de leur parcours professionnel et développer le numérique et le digital en formation pour une ingénierie de la formation optimisée.

Découvrez le dernier bulletin officiel du CNRS. Les documents publiés sont téléchargeables en ligne dans Doc'utiles, le référentiel documentaire administratif du CNRS.

La lettre de l'Institut des sciences humaines et sociales de septembre 2020, est parue.

Le laboratoire "Chimie organique, bioorganique : réactivité et analyse bioorganique" et la société Oril Industrie ont créé le laboratoire commun Idechem pour développer de nouvelles méthodologies de synthèse et d'analyse de principes actifs pharmaceutiques.

La start-up Evora Biosciences s'appuie sur les travaux menés au laboratoire Matière et systèmes complexes pour développer des thérapies fondées sur des nano-vésicules produites par des cellules souches.

Une équipe franco-norvégienne remonte la piste des composés fluorés, utilisés dans nos imperméabilisants et surfaces anti-adhésives, qui voyagent jusqu'au cercle polaire où ils s'accumulent dans les corps des mouettes.

Des scientifiques ont montré l'implication de deux mutations génétiques dans la dépendance à la cocaïne.

La 5^e édition de l'École doctorale itinérante en sciences humaines et sociales Maghreb-Afrique subsaharienne se déroulera en juin 2021, à Abidjan. Date limite de candidature le 1er novembre 2020.

Ce programme permet aux jeunes chercheurs de créer une équipe de recherche dans les domaines des sciences de la vie et de la santé. Date limite de candidature le 18 novembre 2020.

En partenariat avec le CNRS, la Cité des sciences et de l'industrie à Paris propose une exposition permanente sur le biométisme.

Plus de 99 % de la glace terrestre se trouve dans les inlandsis couvrant l’Antarctique et le Groenland. Sous l’effet des changements climatiques, leur fonte, même partielle, contribuera significativement à l’élévation du niveau marin. Mais de combien ? Pour la première fois, des glaciologues, des océanographes et des climatologues de 13 pays ont uni leurs forces pour réaliser de nouvelles projections. Des chercheurs du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement - LSCE/IPSL (CNRS/CEA/UVSQ) ont contribué à ces travaux de modélisation.

10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d'imaginaire, pour explorer et expliquer les possibles du changement climatique. Inspiré par les rapports du GIEC, Nos Futurs donne à voir et à penser les innombrables facettes du lien entre le climat et nos sociétés : inégalités, biodiversité, urbanisme, santé, industrie…

Un projet soutenu par la Diagonale Paris-Saclay et la Chaire Arts et Sciences (École polytechnique, École des Arts Décoratifs-PSL, Fondation Daniel et Nina Carasso)

Portrait de Charlotte Louis, souffleuse de verre au CNRS. Depuis son atelier situé sur le campus CNRS de Gif-sur-Yvette, elle met à profit son savoir-faire unique au service de la communauté scientifique de Paris-Saclay. Elle prolonge la durée de vie d’objets en verre grâce à ses réparations, et elle en fabrique d’autres pour les laboratoires de la circonscription, qui sont le fruit d’une collaboration, d’un échange entre elle et les chercheurs.

Les épaves héritées de la deuxième guerre mondiale, véritables reliques archéologiques, sont menacées par la corrosion progressive qu’elles subissent en mer. L’ambitieux projet SOS Save our Shipwrecks lancé en mai 2019 vise à développer des outils de protection. Il est porté l’équipe de Florence Mercier, chercheuse CNRS à l’unité Nanosciences et innovation pour les matériaux, la biomédecine et l’énergie (NIMBE – CNRS/CEA).