À l’occasion de la rencontre entre les premiers ministres français et québécois le 12 avril 2024, le nouveau centre de recherche international « Innovation pour une planète durable » entre le CNRS et l’université québécoise de Sherbrooke a été officiellement annoncé. Ce sixième centre sera le premier entièrement dédié à l’innovation.
Le CNRS recrute son Référent à l’intégrité scientifique, responsable du traitement des signalements d’écarts à l’intégrité scientifique et à la formation aux bonnes pratiques scientifiques (date limite de candidature : 20/05/2024).
Pour cibler les jeunes, le CNRS et l’Éducation nationale ont lancé le projet « Physique étonnante pour un Grand Oral percutant ! ». Ce dernier met en relation acteurs de la recherche et élèves dans le but de démystifier la science et ceux qui la font. Avec un objectif : informer, faire rêver, mais aussi attirer les lycéennes et lycéens hésitants à rejoindre ses rangs.
Un peu plus d’un an après son lancement, la transition bas carbone du CNRS voit d’ores et déjà ses premiers effets concrets se matérialiser. Achats éco-responsables, formations, critères sociaux et environnementaux dans la restauration collective, bâtiments économes... Le point sur les avancées.
Le National Institute for Materials Science japonais (NIMS) et le CNRS souhaitent renforcer leur collaboration au-delà de l'IRL LINK. Dans ce cadre, CNRS Chimie souhaite réaliser un bilan des collaborations passées et en cours et identifier les futures collaborations.
Michelin, le CNRS et l’Université de Strasbourg ont inauguré le 15 avril à Strasbourg un laboratoire commun appelé « SpinLab » consacré à l’étude du procédé d’electrospinning. Celui-ci permettra l'émergence de matériaux fibreux novateurs et différenciateurs pour des applications variées liées à la mobilité, l’énergie et l’environnement.
Le programme et équipements prioritaires de recherche (PEPR) MED-OOC sera présenté à l’ensemble de la communauté scientifique le lundi 29 avril de 16h à 17h, en ligne. Piloté par le CEA, le CNRS et l’Inserm, ce programme de recherche va promouvoir une nouvelle génération d’organes et organoïdes sur puce basée sur des cellules dérivées de patients dans une perspective de médecine personnalisée.
CNRS Chimie crée une cellule Développement durable pour mettre en œuvre sa politique scientifique et accompagner la recherche en la matière. Dans ce contexte, l’institut organise un colloque de lancement intitulé « La chimie pour le développement durable » le lundi 6 mai au siège du CNRS.
En novembre 2023, une formation organisée par le CNRS et soutenue par la Mission pour la place des femmes du CNRS a, pour la première fois, permis la rencontre de biologistes et de sociologues autour des enjeux de « Sexe biologique et genre en santé ». Ses deux co-organisatrices racontent comment leurs disciplines respectives ont appris à se connaître pour mieux mener ensemble des recherches en santé.
Le PEPR eNSEMBLE a pour objectif de redéfinir en profondeur les outils numériques pour la collaboration, afin de répondre aux défis du 21e siècle. Pour cela, le PEPR eNSEMBLE lance un appel à projets ANR qui porte sur la collaboration numérique et où les projets peuvent concerner aussi bien des problèmes fondamentaux que des problèmes plus appliqués. Des liens avec un consortium interdisciplinaire ou d'autres PEPR sont encouragés (date limite : 2 mai 2024).
Le GIS Autisme et l'Association pour la recherche sur l'autisme et la prévention des inadaptations (ARAPI) lancent un appel à communication qui s’adresse en priorité aux jeunes chercheurs. Les 10 jeunes chercheurs sélectionnés, seront invités à présenter leurs travaux dans le cadre d'une session dédiée organisée par le GIS autisme et TND. La date limite de candidature est fixée au 6 mai 2024.
Le Programme et équipements prioritaires de recherche (PEPR) MoleculArXiv lance son premier appel à projets (AAP). Cet appel vise à identifier de nouvelles équipes de recherche qui puissent se mobiliser pour faire émerger de nouvelles idées, méthodes ou approches dans le domaine du stockage moléculaire de données. Leur défi sera de contribuer au développement de solutions innovantes, en complément des travaux de recherche initiés dans les projets ciblés de MoleculArXiv.
Avec ses 50 mètres de haut et ses dizaines de miroirs (ou héliostats), le four solaire d'Odeillo, dans les Pyrénées-Orientales, est capable de concentrer plus de 10 000 fois la puissance du Soleil pour atteindre des températures supérieures à 2000 degrés.
À Roccapreturo, dans les Abruzzes, des géologues étudient les liens entre activité tectonique et variations du paysage, pour retracer jusqu'à 100 000 ans d'histoire sismique. Des travaux qui pourraient aider à anticiper de futures secousses.
Cinq ans après l'incendie de la cathédrale et à quelques mois de sa réouverture, découvrez dans ce dossier les différents travaux qui mobilisent la recherche depuis le 15 avril 2019.
Le Human Frontier Science Program (HFSP) est un programme international de soutien à la recherche qui finance des projets de recherche fondamentale interdisciplinaire et exploratoire dans le domaine des sciences de la vie. Le projet coordonné par Christophe Coudret, chercheur du CNRS au laboratoire Softmat et retenu par le programme s'intitule « Illuminating Microbial Communication Networks: The Phycosphere lab ».
Les International Emerging Actions (IEA) sont des projets « PI-to-PI » financés par le CNRS dont la finalité est l’exploration de nouveaux champs de recherche et de nouveaux partenariats à l’international. Parmi les lauréats, deux scientifiques et un doctorant du Laboratoire de recherche spécialisé dans l’analyse et l’architecture des systèmes (LAAS-CNRS) sont impliqués sur le projet « PRESTO - Algorithmes numériques fiables et efficaces pour l'optimisation de trajectoires sous contraintes stochastiques ».
L'appel à projets a pour but de faire émerger, développer et renforcer des projets de recherche entre le monde académique et des acteurs extra-académiques : associations, entreprises, groupes professionnels, collectivités, collectifs de citoyens, établissements scolaires, centres de formation, administrations, particuliers, etc. Il s’agit de travailler à la rencontre et à l’hybridation d’une pluralité d’expertises.
Date limite de dépôt : 17 mai 2024
L’une des molécules responsables du déclenchement de l’inflammation à l’origine des maladies allergiques respiratoires telles que l'asthme et la rhinite allergique vient d’être découverte par des scientifiques du CNRS, de l’Inserm et de l’université Toulouse III – Paul Sabatier. Cette molécule de la famille des alarmines représente une cible thérapeutique d’intérêt majeur pour le traitement des maladies allergiques.
En 2006, un article auquel a contribué Cédric Févotte, directeur de recherche CNRS à l’Institut de recherche en informatique de Toulouse, a proposé une série de critères numériques pour l’évaluation d’algorithmes de séparation de sources. Aujourd’hui, la communauté scientifique mondiale utilise ces critères devenus une référence internationale. Les 3 co-auteurs de cette recherche viennent d’être récompensés pour l’impact durable de leur publication par l’IEEE, avec près de 20 ans de recul.
Une équipe française, dirigée par Éric Crubézy, professeur en anthropobiologie à l’université Toulouse III – Paul Sabatier et au Centre d’anthropobiologie et de génomique de Toulouse (CAGT – CNRS/UT3) ainsi que membre de l’Institut universitaire de France (IUF), a démontré que le supplice de l'incaprettamento était associé à des sites agricoles. L’émergence du mégalithisme semble avoir marqué le déclin de cette pratique.
Depuis leurs universités respectives, les professeurs Guillaume Cabanac, de l’Institut de recherche en informatique de Toulouse (IRIT - CNRS/Toulouse INP/Université Toulouse 3 – Paul Sabatier) et Cyril Labbé, membre du Laboratoire d’informatique de Grenoble (LIG - CNRS/Université Grenoble-Alpes), développent des outils de détection de fraude scientifique. Ils font face à des techniques variées, allant des articles générés aléatoirement et dépourvus de sens aux citations de travaux qui n’ont jamais existé.
Des réseaux de capteurs sans fil sont développés depuis des décennies, en particulier pour contrôler et surveiller l'intégrité de bâtiments ou de grandes structures de génie civil. Mais quelle que soit l'application visée, leur déploiement est fortement limité par leur manque d’autonomie en énergie. Des chercheurs du LAAS-CNRS ont développé un dispositif de télé-alimentation par transfert sans fil de puissance électromagnétique rayonnée.
Le laboratoire commun HC-IUMI2, entre le CNRS et Hitachi High-Tech Corporation, explore les potentiels d’un instrument unique, un microscope de très grande précision aussi bien dans l’espace que dans le temps. Cette nouvelle collaboration ouvre des perspectives à l’étude de propriétés des nanomatériaux.
Une personne sur deux est directement concernée par la ménopause. Pourtant, peu d’enquêtes s’intéressent à ce phénomène. C’est pourquoi une équipe de chercheurs du LISST réalise une enquête pour comprendre comment la ménopause est perçue et vécue aujourd’hui.
Cette manifestation a l’ambition de montrer que l’histoire peut et doit nous aider à comprendre les enjeux des débats contemporains. Dans plusieurs lieux de la ville de Toulouse, historiens, philosophes, chercheurs en sciences sociales, écrivains et artistes partagent leurs idées et leurs recherches à travers de nombreux événements aux formats innovants et interactifs. Le CNRS est partenaire de la table ronde « Attestation et confinement : comment avons-nous obéi ? » (24 mai à 14h30, Bibliothèque d'Etude et du Patrimoine)
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