CNRS Le journal de juin est paru avec un dossier spécial consacré à la crise sanitaire du COVID-19.
Créée en 2011, la médaille de l'innovation du CNRS reconnaît des personnalités dont les recherches exceptionnelles ont conduit à des innovations marquantes sur le plan technologique, économique, thérapeutique et social.
L’intranet du CNRS met à la disposition de tous les personnels qui travaillent dans une unité dont le CNRS est tutelle, quel que soit leur employeur, des informations actualisées liées au coronavirus.
Une équipe de recherche présente la première étude qui caractérise les conséquences de l'infection COVID-19 sur les globules blancs.
L'étude iCARE rentre dans sa troisième phase et propose une nouvelle enquête pour approfondir les connaissances sur les attitudes, les croyances et les comportements des personnes face au COVID-19.
Les résultats de cette enquête exceptionnelle, dont Bruno Ventelou, chercheur CNRS au laboratoire Aix-Marseille sciences économiques, est co-auteur, sont publiés.
" Comment relancer l’économie en France ? ", découvrez le dernier podcast de la série.
La campagne d’avancement au choix des chercheurs et chercheuses pour l’année 2020 est ouverte jusqu’au 2 septembre 2020. Les documents sont à déposer dans l’application e-valuation.
Les rapports d'activité et les listes de productions scientifiques des chercheuses et chercheurs sont à déposer dans l'application e-valuation du 24 juin au 2 septembre 2020.
Selon le classement réalisé par l’institut de sondage international Universum, les étudiants ingénieurs et en technologies de l’information classent le CNRS au 14e rang sur les 100 employeurs examinés.
Arts et culture, événements, vacances, sports et loisirs ... retrouvez les dernières actualités du Comité d’Action et d’Entraide Sociales.
Soixante-seize scientifiques européens ont signé un texte dans la revue Nature, demandant la création d’une fondation privée dédiée aux urgences sanitaires et écologiques, financée par des philanthropes à hauteur de vingt milliards d’euros.
Les dernières actualités de la valorisation et de l’innovation au CNRS sont parues.
Le CNRS, le CEA et Aix-Marseille Université ont inauguré, à l'Institut Fresnel, le laboratoire commun Lolah, spécialisé dans les matériaux et procédés pour les composants optiques lasers et hyperfréquences.
Le projet SeparationsPietons du CNRS est l'un des projets lauréats de l’appel RA-Covid-19 de l’Agence nationale de la recherche (ANR), qui vise à soutenir des travaux de recherche à court terme en lien avec la pandémie.
Directeur de l’Institut de science et d'ingénierie supramoléculaires (ISIS), Paolo Samorì a reçu le prix binational franco-britannique de la Royal society of chemistry pour ses travaux en recherche internationale sur les matériaux 2D et chimie supramoléculaire.
L’Ambassade de France en Indonésie déploie le programme " Science et Impact " pour renforcer la coopération en sciences et technologies entre les deux pays.
Date limite des candidatures le 1er septembre 2020.
L’Académie nationale de Pharmacie et la MGEN lancent conjointement deux appels à projets pour les prix " Promotion de la santé environnementale " et " Recherche et innovation en santé environnementale ".
Date limite des candidatures le 1er septembre 2020.
L’Institut de chimie réaffirme son soutien en faveur des jeunes chercheurs en renouvelant pour la quatrième année son appel à projet Emergence@INC.
Date limite des candidatures le 6 juillet 2020.
Les scientifiques de la collaboration internationale XENON ont annoncé aujourd’hui que les données de XENON1T, l’expérience de matière noire la plus sensible au monde, montrent un excès surprenant d’événements. Les scientifiques ne prétendent pas avoir trouvé de matière noire. Au lieu de cela, ils disent avoir observé un taux d’événements imprévu, dont la source n’est pas encore entièrement comprise. La signature de l’excès est similaire à ce qui pourrait résulter d’une petite quantité résiduelle de tritium, mais pourrait également être le signe de quelque chose de plus excitant - comme l’existence d’une nouvelle particule élémentaire connue comme l’axion solaire ou l’indication de propriétés encore inconnues des neutrinos.
L’imagerie ultrasonore ultrarapide a récemment été proposée pour suivre l’activité cérébrale dans la profondeur du cerveau. Cette nouvelle technologie permettrait même de visualiser des structures fonctionnelles aussi fines - que les colonnes corticales du cortex visuel - d’une taille trop petite pour une détection plus traditionnelle par imagerie par résonnance magnétique (IRM). Telles sont les conclusions d’une étude dirigée par Serge Picaud, physiopathologiste à l’Institut de la vision (Sorbonne Université / Inserm / CNRS) et Mickael Tanter, physicien au laboratoire Physique pour la médecine (ESPCI Paris - PSL / Inserm / CNRS) et directeur de l’ART « Ultrasons biomédicaux ». Les répercussions de leurs travaux, parus le 8 juin 2020 dans la revue PNAS, s’étendent bien au-delà de la compréhension du système visuel.
L’équivalence entre masse et énergie est bien connue par la célèbre relation d’Einstein E = mc2. En associant les mesures de masse les plus précises et les calculs quantiques et relativistes d’énergies de liaison électroniques les plus récents, des physiciennes et des physiciens ont pour la première fois identifié un état électronique excité en mesurant la différence entre la masse de l’atome excité et la masse de l’atome dans son état fondamental pour un atome de rhénium chargé 29 fois. Ces travaux ont été menés par des physiciennes et des physiciens de l’Institut Max Planck, de l’Université de Heidelberg et par un physicien du Laboratoire Kastler Brossel (LKB, CNRS/Sorbonne Université/ENS/Collège de France).
Observer le régime quantique d’un oscillateur mécanique macroscopique, c’est depuis une dizaine d’années l’objectif des physiciens qui étudient la frontière entre les mondes classiques et quantiques. Pour la première fois, des physiciens du Laboratoire de physique de l’ENS (LPENS, CNRS/ENS/Sorbonne Univ./Univ. de Paris) ont utilisé le magnétisme quantique d’un microdiamant en lévitation pour contrôler son mouvement et le refroidir.
Des investigateurs français de l’Institut médico-légal de Paris, du service de radiologie de l’hôpital Sainte-Anne/GHU Paris, du département d’anesthésie-réanimation des hôpitaux de l’AP-HP Saint-Louis et Lariboisière, d’Université de Paris, de l’Inserm et du CNRS ont fait l’hypothèse que les arrêts cardiaques en dehors de l'hôpital pendant le pic de la pandémie de COVID-19 pourraient être en partie dus à des embolies pulmonaires massives.
Le projet de recherche MigraChiCovid du Cermes3 - Centre de recherche médecine, sciences, santé, santé mentale, société, lauréat de l'ANR Flash Covid-19, vise à analyser les représentations, perceptions, attitudes et comportements relatifs au Covid-19 à travers le prisme des migrations chinoises en France.
Un questionnaire en ligne, qui s’adresse à toute personne issue des migrations chinoises (incluant celles originaires de l’Asie du Sud-est et d’autres zones géographiques) vivant en France, vient d'être lancé.
Les canicules, qui vont devenir de plus en plus fréquentes et intenses, constituent une menace pour le bien-être et la santé des personnes. Pourra-t-on s'y adapter sans recourir massivement à la climatisation, qui par son importante consommation d'énergie peut mettre en péril nos efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre ?
Dans le cas de l'Île-de-France, cela sera difficile, selon une équipe interdisciplinaire de l’École des Ponts ParisTech, du CNRS, de Météo-France et du CSTB. Cependant, la végétalisation des villes, une meilleure isolation des bâtiments, la mise en place de toitures réfléchissantes, et un usage raisonné de la climatisation pourraient permettre de réduire presque de moitié la quantité d’énergie nécessaire à celle-ci, comme le montrent leurs résultats publiés le 2 juillet 2020 dans Environmental Research Letters.
Découvrez un film qui revient sur l'expérience de chercheurs en exil, réalisé dans le cadre du projet RESTRICA porté par Pascale Laborier de l'Institut des sciences sociales du politique (CNRS/Université Paris Nanterre/ENS Paris-Saclay) et le photographe Pierre-Jérôme Adjedj.
La 4ème note de recherche du projet CoCo, porté par l'Observatoire Sociologique du Changement, s’intéresse aux conséquences de l’expérience du confinement sur les attitudes et les opinions. Le confinement a-t-il accéléré des tendances sous-jacentes ou a-t-il permis l’émergence de nouvelles orientations sociales et politiques ?
Le projet CoCo « Faire face au Covid-19. Distanciation sociale, cohésion et inégalité dans la France de 2020 », s'appuie sur le panel représentatif de la population française ELIPSS pour mener des recherches sur l'impact du Covid-19 dans notre vie quotidienne.
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