CNRS Nucléaire & Particules participe en 2025 à un concours photo international, coordonné par la Collaboration Interactions (collaboration internationale de communicants en physique des particules https://interactions.org/interactions-physics-photowalk). Ce concours est organisé sous la forme d'une promenade photographique (photowalk) qui sera déclinée dans 6 laboratoires de CNRS Nucléaire & Particules dont le Grand Accélérateur National d'Ions Lourds (GANIL). Pour toute information complémentaire : https://www.in2p3.cnrs.fr/fr/photowalk2025).

Une visite sera organisée au GANIL le mardi 20 mai, les inscriptions sont accessibles via https://indico.in2p3.fr/event/35781/ avant le mardi 22 avril à 17h00. Les candidatures sont ouvertes aux photographes professionnels ou amateurs qui prendront part à la visite accompagnés de scientifiques afin de photographier les installations, les personnes ou l'environnement de travail. L'objectif est d'apporter un autre regard sur les recherches et la physique de manière globale. Suite à la visite chaque photographe remettra 5 à 10 photos qui seront relayées nationalement. Un jury local sélectionnera ensuite les photographies pour le concours international.

_{© photographie L. Godart/CEA}

Après avoir remporté le prix du jury lors d'une finale normande riche en émotions, Alexiane PHAN, doctorante en génie civil, se prépare maintenant pour la grande finale nationale qui se tiendra le mardi 17 juin à Paris.

Ce programme d'accompagnement RISE du CNRS s’adresse à tout personnel de recherche qui souhaite participer à la création d’une start-up reposant sur une technologie développée dans un laboratoire sous tutelle du CNRS.

Le Centre franco-égyptien d’étude des temples de Karnak, co-dirigé par Jérémy Hourdin, ingénieur de recherche au CNRS et Abdelghaffar Wagdy, directeur général des Antiquités de Louqsor, vient de mettre au jour un magnifique ensemble de bijoux, dont de nombreuses pièces en or, au nord-ouest de Karnak, au cours du nouveau projet de modernisation du musée en plein-air.

Les neurones artificiels sous-estiment-ils la puissance de leurs modèles biologiques ? Dix ans après de premières prédictions théoriques, des chercheurs et chercheuses ont montré qu’un neurone isolé peut réaliser un calcul qu’on lui croyait impossible. Publiés dans la revue Scientific Reports, ces travaux suggèrent qu’utiliser des neurones artificiels plus complexes améliorerait l’efficacité des réseaux de neurones.

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