Huit nouvelles illustres personnalités de la recherche mondiale ont rejoint le CNRS en tant que « fellows-ambassadeurs » en 2024.
Le CNRS confirme une nouvelle fois son rôle d’acteur-clé en matière d’innovation à l’échelle internationale : l’établissement figure dans le Top 100 mondial des innovateurs 2024 publié par Clarivate. Rare organisme de recherche à se distinguer dans ce palmarès international, le CNRS se positionne cette année à la 90e place.
Repenser la robotique moderne afin qu’elle soit davantage en prise avec les besoins de la société, tel est le principal objectif du programme national de recherche « Robotique organique » lancé le 11 mars 2024 à Montpellier. Ce programme d’envergure vise à créer des robots en interaction fluide et naturelle avec l’humain. Piloté par le CEA, le CNRS et Inria, il concentrera dans un premier temps ses efforts sur le domaine de la santé et plus généralement sur l’assistance à la personne.
Finaliste de Ma Thèse en 180 secondes 2023, Adrien Heinzelmeier est doctorant au Laboratoire d’étude des microstructures et de mécanique des matériaux. Il nous présente son travail de recherche sur l’hydrogène.
Le 8 mars, journée internationale des droits des femmes, a été l’occasion pour CNRS Sciences informatiques de faire le bilan des actions réalisées dans ses laboratoires et ainsi rendre hommage à toutes celles et ceux qui œuvrent quotidiennement pour faire évoluer les mentalités et permettre l’égalité femmes-hommes dans nos laboratoires.
Votre projet ANR est mentionné dans le fichier que vous déposez dans HAL ? La fonctionnalité d’extraction des métadonnées à partir d’un fichier pdf s’enrichit maintenant des données de financement et permet de compléter automatiquement le formulaire de dépôt.
L’exposition « La Science taille XX elles », créée par le CNRS et l’association Femmes & Sciences, célèbre le rôle des femmes scientifiques dans la recherche avec 84 portraits, disponibles en ligne dès à présent.
Lire l'article et découvrez actuellement les expositions à Marseille et Clermont-Ferrand.
Que se passe-t-il dans notre cerveau quand nous lisons ou rêvons, quand nous avons faim ou peur ? Par quels mécanismes parvenons-nous à penser ou à prendre des décisions ? Comment expliquer et soigner la dépression ou la maladie d'Alzheimer ? À l'occasion de la Semaine du cerveau, partez à la découverte de l'organe le plus fascinant du corps humain.
Découvrez le dossier et les images. Voir le reportage CNRS.
Plus de 9 000 visiteurs en présentiel et 10 000 en distanciel à la 21e édition du Village de la Chimie, placée sous le signe des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, qui se tenait les 1er et 2 mars 2024 à Paris Montreuil Expo.
Dans ce septième épisode, à l’aube des JO, Maxime vous emmène à l'Institut des sciences du mouvement – Étienne-Jules Marey, à Marseille, pour montrer comment la science aide à optimiser l’entraînement des athlètes.
Et si les mathématiques déterminaient la construction des villes de demain ? Le temps d’une conférence, devenez architecte et participez à la création d’un nouveau milieu urbain.
Une conférence démo à (re)voir. Retrouvez tous les 15 jours un nouveau replay, et d’ores et déjà ceux disponibles dans cette playlist.
La réalité virtuelle se met au service de la science. La cathédrale Notre-Dame de Paris a été entièrement numérisée par les chercheurs du CNRS, qui peuvent désormais s’immerger dans le double virtuel de l’édifice. À la Cité de l’architecture et du patrimoine, à Paris, les scientifiques accèdent à des matériaux désormais détruits ou à des parties inaccessibles de la cathédrale.
Alors que les Jeux Olympiques de Paris 2024 approchent à grands pas, les athlètes du monde entier profitent de leurs dernières semaines d'entraînement pour grappiller encore quelques millimètres ou centièmes de seconde. Mais dans cette guerre de tous contre tous pour les records où chaque geste est optimisé, un allié se fait de plus en plus précieux : la science ! Analyses ultra-poussées, équipements de pointe, environnements en réalité virtuelle... On vous emmène à Institut des sciences du mouvement – Étienne-Jules Marey (ISM), à Marseille, pour découvrir comment la science vient au secours des plus grands athlètes... et des sportifs du dimanche.
5 années après son lancement à Toulouse, « La Science taille XX elles » est un concept plus vivant que jamais. Après Paris, Lyon, Grenoble, Clermont-Ferrand, Marseille rejoint l’aventure. Découvrez les portraits de nos 16 ambassadrices des laboratoires du CNRS en Provence :
- Aoife Bharucha, physicienne Centre de physique théorique de Marseille (CPT) ;
- Laurence Blanchard, biochimiste à l'Institut de biosciences et biotechnologies d’Aix-Marseille (BIAM) ;
- Rebecca Castel, toxicologue à l’Institut méditerranéen de biodiversité et d’écologie marine et continentale (IMBE) ;
- Jozina De Graaf, neuroscientifique à l’Institut des sciences du mouvement – Étienne-Jules Marey (ISM) ;
- Stéphanie Escoffier Martory, cosmologiste au Centre de physique des particules de Marseille (CPPM) ;
- Elsa Garcin, biochimiste au laboratoire Information génomique et structurale (IGS) ;
- Valérie Laval Lévêque, radioprotectionniste au Laboratoire d’analyses nucléaires et de surveillance de l’environnement (LANSE) ;
- Aude Lereu, physicienne à l’Institut Fresnel ;
- Sandrine Maljean-Dubois, juriste au laboratoire Droit international, comparé et européen (DICE) ;
- Giulia Mollica, chimiste à l’Institut de chimie radicalaire (ICR) ;
- Noushin Mossadegh-Keller, immunologiste au Centre d’immunologie de Marseille Luminy (CIML) ;
- Magalie Ochs, informaticienne au Laboratoire d’informatique et systèmes (LIS) ;
- Anne Pichon, mathématicienne à l’Institut de mathématiques de Marseille (I2M) ;
- Magali Tournus, mathématicienne à l’Institut de mathématiques de Marseille (I2M) ;
- Annie Zavagno, astrophysicienne au Laboratoire d’astrophysique de Marseille (LAM) ;
- Myriam Zerrad, photonicienne à l’Institut Fresnel.
Dans le cadre de la Fête de la science du 4 au 14 octobre 2024, et après le succès des trois dernières éditions, la délégation Provence et Corse organise de nouveau les Visites insolites du CNRS. Rejoignez l'aventure en ouvrant les portes de votre laboratoire en 2024 !
L’exposition photographique « La Science taille XX elles » a été inaugurée le 12 mars 2024 à l'hôtel de ville de Marseille en présence notamment d'Aurélie Biancarelli, adjointe au maire de Marseille en charge de la recherche, de la vie étudiante et de lʼenseignement supérieur, d'Aurélie Philippe, déléguée régionale du CNRS en Provence et Corse, d'Isabelle Vauglin, présidente de l'association Femmes & Sciences, et d'Emmanuelle Charafe, vice-présidente de la métropole Aix-Marseille Provence déléguée à la santé, à l’enseignement supérieur et la recherche, à la recherche médicale, à l’économie de la santé. L'exposition est visible jusqu'au lundi 25 mars place Général de Gaulle à Marseille.
Qu’est-ce que Varsovie, Paris, et Bordeaux ont en commun ? Ce sont trois berceaux pour la communauté de recherche travaillant autour de la théorie des automates, de la logique, et de la théorie des jeux. Les très nombreux échanges entre ces pôles et au-delà ont permis des avancées majeures dans ces domaines, récompensées au niveau international. L’objectif de l’International Research Project (IRP) Le Trójkąt est de structurer et de développer ces relations, pour s’attaquer aux problèmes que le XXIe siècle inspire à l’informatique fondamentale. En Provence, cet IRP implique le Laboratoire d'informatique et systèmes (LIS).
À l’occasion de la sortie du livre blanc sur les paléoclimats et paléoenvironnements, Guillaume Leduc, chercheur CNRS au Centre de recherche et d'enseignement des géosciences de l'environnement (CEREGE) et secrétaire du comité, et Pascale Braconnot, présidente du comité, ont répondu à quelques questions sur cette discipline très dynamique et pleine de potentiel.
Dans les années 1950, à la veille des décolonisations, Français et Britanniques développent l’éducation de masse en Afrique de l'Ouest. Durant la même période, la polygamie diminue partout dans la région. À travers l'exemple du Cameroun, des économistes interrogent le possible lien entre niveau d’éducation et statut marital. Ce nouveau billet est issu de la revue Dialogues économiques éditée par Aix-Marseille sciences économiques (AMSE).
Comment modéliser au mieux les avalanches et prévoir, par exemple, la distance d’écoulement de celles-ci ? Charlotte Perrin, chercheuse à l'Institut de mathématiques de Marseille (I2M), s’intéresse à la modélisation mathématique de l’écoulement des fluides et en particulier ceux présentant une caractéristique d’hétérogénéité et des zones de congestion. Elle est récompensée de la médaille de bronze du CNRS en 2024 pour ses travaux.
Les grands projets de séquençage sont fondamentaux pour mieux comprendre le vivant dans différents domaines (santé, agronomie, écologie). Une équipe de recherche impliquant des scientifiques de l'Institut méditerranéen d'océanologie (MIO) et de l'Institut Pythéas, a utilisé des k-mers (mots de taille k) pour créer une notion de mot dans les données brutes de séquençage. Cette solution d’indexation a ainsi permis d’interroger plusieurs dizaines de téraoctets de données de séquence issues du projet Tara Oceans.
Le projet HOPE vise à étudier la capacité des océans tropicaux à séquestrer du CO2. Financé par la bourse européenne ERC Consolidator, soutenu par le CNRS via son Parc national d’instrumentation océanographique (PNIO), HOPE est porté par Sophie Bonnet, océanographe à l’Institut méditerranéen d'océanologie (MIO). Du 2 au 7 mars 2024, une bouée intelligente à la pointe de la technologie, mesurant cinq mètres de diamètre, munie de capteurs innovants communiquant entre eux et avec la terre a été déployée dans le Pacifique Sud, au large de la Nouvelle-Calédonie. Ce dispositif va permettre d’échantillonner simultanément l’océan en surface comme en profondeur toutes les quatre heures pendant quatre ans, et retransmettra ses données (biodiversité, chimie, physique) en temps réel aux océanographes à terre. Une prouesse technologique jamais égalée dans le domaine de l’océanographie qui ouvre de nouvelles perspectives dans la compréhension des liens océan-climat.
Olga Paris-Romaskevich, chercheuse à l’Institut de mathématiques de Marseille (I2M), fait partie des six chercheuses récompensées à l’occasion de la 22e édition du prix Irène Joliot-Curie. Elle reçoit le prix spécial de l’engagement qui récompense une scientifique particulièrement investie dans la sensibilisation et l’orientation des filles et des jeunes en général vers les sciences.
Une des caractéristiques les plus remarquables du cerveau humain est la présence de plis. Se formant avant la naissance ils sont visibles depuis sa surface externe. Ces plis sont propres à chacun, tout comme nos empreintes digitales. Comprendre leur formation est donc l'une des clefs pour détecter les troubles du développement cérébral précoce... Dans le cadre du projet SulcalGrids, l’équipe coordonnée par Guillaume Auzias de l'Institut de neurosciences de la Timone (INT), propose de nouveaux outils pour décrire la formation de ces plis au cours du développement pré-natal et mieux comprendre l’origine des variations inter-individuelles.
La privation de sommeil a un impact croissant sur les individus et les sociétés, engendrant des accidents, des fatigues chroniques, des situations d’épuisement professionnel… coûtant des milliards aux systèmes de santé publics. Jusqu’à aujourd’hui, il n'existait pas de test rapide et objectif permettant la détection de la privation de sommeil. Dans une étude, publiée dans PLoS Computatinal Biology le 5 février 2024, l’équipe de recherche Vigilance, fatigue, sommeil et santé publique (VIFASOM) qui implique des scientifiques de l'Institut de neurosciences de la Timone (INT), démontre la possibilité de détecter la privation de sommeil au niveau individuel grâce à des enregistrements vocaux analysés par une IA qu’ils ont entraînée.
En Chine, les parents continuent de jouer un rôle prépondérant dans le choix des partenaires de leurs enfants. Des chercheurs se sont penchés sur leurs préférences et l’adéquation avec le souhait de leurs enfants. Ce nouveau billet est issu de la revue Dialogues économiques éditée par Aix-Marseille sciences économiques (AMSE).
Après l'incendie qui a ravagé la cathédrale en 2019, les vestiges de Notre-Dame de Paris ont été entièrement numérisés par des chercheurs du CNRS, qui peuvent désormais s’immerger dans le double virtuel de l'édifice. Ce reportage, diffusé avec LeMonde.fr, vous transporte au cœur de ce modèle en taille réelle grâce auquel les scientifiques peuvent notamment étudier des matériaux détruits ou des parties inaccessibles du monument. À Marseille, les chercheurs du laboratoire Modèles et simulations pour l'architecture et le patrimoine (MAP) participent à ces travaux.
Dans le cadre du cycle de conférences du Centre de physique des particules de Marseille (CPPM) « Mystères au cœur de l'Univers et de la matière » et de l'année de la physique 2023-2024, la prochaine conférence grand public aura lieu le samedi 16 mars à 10h à la Faculté des sciences à Luminy à Marseille et portera sur « Le marégraphe de Marseille et ses amis ». Elle sera animée par Alain Coulomb, président de l'association Les amis du marégraphe de Marseille.
La prochaine conférence des Mercredis d'Endoume organisés par l'Institut méditerranéen de biodiversité et d'écologie marine et continentale (IMBE), aura pour thème « Peut-on effacer les traces du passé industriel sur les écosystèmes littoraux marseillais ? Réflexions sur la restauration écologique ». Elle sera présentée par Isabelle Laffont Schwob, professeure Aix-Marseille Université et écologue au Laboratoire population environnement développement (LPED), et aura lieu le mercredi 27 mars 2024 à 19h à la station marine d’Endoume à Marseille et sur IMBE TV.
La plateforme Stella Mare propose une journée portes ouvertes le samedi 16 mars, en collaboration avec l'association U Marinu – Centre permanent d’initiatives pour l’environnement de Bastia. Au programme : une conférence intitulée « L'ADN environnemental, un nouvel outil pour estimer la biodiversité marine », des visites guidées des laboratoires de Stella Mare et des ateliers pédagogiques.
La prochaine rencontre du bar des sciences de l'Observatoire des sciences de l’Univers – Institut Pythéas aura lieu le mardi 19 mars 2024 à 19h à la brasserie Zoumaï à Marseille. Daniel Faget, chercheur au laboratoire Temps, espaces, langages, Europe méridionale Méditerranée (TELEMME) et Sandrine Ruitton, chercheuse à l'Institut méditerranéen d'océanologie (MIO) font partie des intervenants.
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