
Coopérations
Fédérer des acteurs, nouer des partenariats, créer les conditions d’une coopération durable : c’est à travers ces objectifs que le CNRS structure son approche partenariale. Ces liens forts avec le monde académique, l’industrie et les collectivités territoriales nourrissent les travaux de l’établissement et participent au rayonnement de la recherche.
Des coopérations multiples
Avec le monde académique ou avec l’industrie, le CNRS construit des coopérations solides, au service de l’innovation scientifique.
Partenariats publics
Partenariats industriels
Partenariats internationaux
Des équipes d’une très grande mixité
Mixité des unités de recherche
Le CNRS évolue au sein de l’écosystème de l’enseignement supérieur et de la recherche français qui se caractérise par une grande mixité entre divers établissements. Ainsi plus de 90 % des laboratoires du CNRS sont « mixtes » : ils rassemblent des moyens humains et financiers de plusieurs établissements (CNRS, universités, grandes écoles, autres organismes de recherche, etc.) autour d’un projet scientifique et/ou d’infrastructures partagées.
- 1 100 laboratoires répartis sur le territoire français
- 2/3 des effectifs du CNRS sont localisés sur 11 grands sites universitaires accueillant la moitié des unités de recherche et d’appui
- 80 laboratoires à l’étranger partout dans le monde
Mixité des talents
Personnels de recherche mais aussi d’appui à la recherche : le CNRS se caractérise par la grande diversité des statuts et des fonctions des membres qui composent ses équipes.
Un écosystème de coopérations territoriales
Sur l’ensemble du territoire national comme à l’international, le CNRS joue un rôle fédérateur essentiel au bon fonctionnement et au rayonnement de la recherche française.
Des pôles d’excellence
Le Programme d’investissements d’avenir (PIA) et France 2030
Le rôle d'agence de programmes
La politique de sites
Les infrastructures de recherche internationale
La coopération internationale, dans laquelle le CNRS joue un rôle de premier plan, permet de soutenir et de créer des infrastructures de recherche de niveau mondial :
- des instruments remarquables : télescopes, accélérateurs de particules en physique des hautes énergies, sources de neutrons et de rayonnement synchrotron, lasers et champs magnétiques intenses, moyens de calcul intensif…
- des ressources scientifiques : collections, archives ou bibliothèques…
- des plateformes virtuelles : bases de données, systèmes informatiques et réseaux de communication…
Grâce à ces équipements situés en France comme dans le monde entier, la communauté scientifique française, européenne et internationale a pu mener des avancées remarquables dans de nombreux domaines.
Le pilotage des infrastructures de recherche
Les très grandes infrastructures de recherche (IR) relèvent d’une stratégie gouvernementale et s’inscrivent pour la plupart dans la stratégie européenne. Pour piloter les IR, le CNRS s’est doté d’une organisation transversale. Un comité, rattaché à la direction générale déléguée à la science, élabore la stratégie scientifique de l’organisme en concertation avec les instituts et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Crédit photo : © Cyril Frésillon / Virgo / CNRS Images