Une étude, à laquelle l'Institut d’astrophysique spatiale (IAS - CNRS/Université Paris-Saclay) a participé, vient de révéler la présence de nouvelles molécules à la surface de Charon, le plus gros satellite de Pluton, grâce aux observations du télescope spatial James Webb (JWST). Les récentes observations de JWST ont permis de détecter pour la première fois du dioxyde de carbone et du peroxyde d’hydrogène à sa surface, enrichissant ainsi notre compréhension de sa composition chimique.