Lauréate du prix Irène Joliot-Curie 2023 dans la catégorie « Jeune femme scientifique », cette chimiste est parvenue à reproduire la toute première structure expérimentale d’un récepteur olfactif humain.
Dans le contexte de l'élection présidentielle en Russie, la sociologue Elisabeth Sieca-Kozlowski, autrice de l'ouvrage « Poutine dans le texte » paru récemment chez CNRS Éditions, décrypte pour nous l'évolution de la pensée et de la rhétorique du dirigeant russe depuis son accession au pouvoir.
Champ d’investigations récent, la recherche sur les acouphènes permet de mieux appréhender les effets et les causes de ce symptôme qui concerne près de 8 millions de personnes en France.
Après la panthéonisation de Mélinée et Missak Manouchian, l'historien Denis Peschanski revient sur le rôle longtemps méconnu mais ô combien important des femmes et des étrangers dans la Résistance.
La découverte exceptionnelle d’un habitat daté de 3000 ans avant notre ère, dans la région des marais de Saint-Gond, en bordure du bassin parisien, va permettre d’éclairer le fonctionnement encore méconnu des sociétés néolithiques.
Issue d’une formation en biologie et en chimie, Stéphanie Descroix travaille dans un domaine de recherche hautement pluridisciplinaire : la microfluidique. Grâce à cette technologie, elle crée des mini-organes sur puce. Des outils qui ouvrent des perspectives immenses, notamment en oncologie...
Reconstituer l’histoire de notre Voie lactée, du Big Bang à nos jours : c’est l’objectif, désormais à portée d’instruments, de l’archéologie galactique.
Trop souvent appréhendées du seul point de vue biomédical comme une pathologie cérébrale individuelle, les addictions s’avèrent aussi être un fait social.
La puissance du dollar serait-elle en déclin ? Alors que les pays des Brics avancent ouvertement l’idée de créer une monnaie commune, le réseau mondial serait-il prêt à adopter une nouvelle devise internationale ? C’est ce qu’ont étudié des physiciens en analysant la structure mathématique des échanges commerciaux.
Chercheuse en génie civil, Hannelore Derluyn veut identifier les mécanismes à l’origine de la dégradation des roches utilisées dans les constructions. À la clé : augmenter la durée de vie des matériaux ou encore préserver le patrimoine architectural.