Michaël GasperoniChercheur en histoire moderne
Chercheur en histoire moderne, spécialiste de l’histoire des populations et des minorités religieuses dans l’Italie moderne (fin XVe - fin XIXe siècle) au Centre Roland-Mousnier1 .
" La réflexion sur les archives, leurs contextes de production et de transmission sont au cœur de ma pratique d’historien. Pour reconstituer intégralement (ou presque) des populations et étudier les pratiques matrimoniales et sociales des acteurs à diverses échelles, j’ai très tôt eu recours au dépouillement massif de différents types de sources. Cette démarche m’a conduit à intégrer des méthodes quantitatives et des outils numériques et, par conséquent, à mener une réflexion sur le traitement sériel des données produites en histoire et en sciences sociales. Je m’efforce de concilier différentes approches en me nourrissant tant des apports de la démographie historique que de l’anthropologie de la parenté, de l’histoire économique et sociale ou encore de l’histoire du droit et des institutions. "
- 1CNRS/Sorbonne Université
CV
- Depuis 2005 : Membre du groupe de recherche Kintip initialement financé par l’ANR « Traitement informatique des phénomènes de parenté en anthropologie et en histoire (TIPP) »
- 2013 : Doctorat en histoire moderne à l’EHESS
- 2013-2016 : Postdoctorat à l’École française de Rome (Italie)
- 2016 : Entrée au CNRS – Chargé de recherche au Centre Roland-Mousnier
- 2019 : Projet Émergence(s) de la Mairie de Paris sur les mariages mixtes interconfessionnels en Europe (1792-1914)
Michaël Gasperoni, chercheur en histoire moderne
Chercheur en histoire moderne, spécialiste de l’histoire des populations et des minorités religieuses dans l’Italie moderne (fin XVe - fin XIXe siècle) au Centre Roland-Mousnier.