Un consortium français rejoint l’organisation SKA-O

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SKA ? L’acronyme désigne le plus grand télescope jamais imaginé. Ce projet international de télescopes radio aux fréquences basse et moyenne vise à long terme une surface collectrice d’un kilomètre carré. Coordonné par le CNRS, le consortium SKA-France vient de devenir le 12e membre de SKA-O, organisation chargée de l’étude de faisabilité du projet. Il comprend cinq organismes de recherche (le CNRS, les universités de Bordeaux et d’Orléans, l’Observatoire de Paris-PSL et l’Observatoire de la Côte d’Azur) ainsi que sept industriels (Air Liquide, ATOS-Bull, Callisto, CNIM, Kalray, TAS). Plusieurs laboratoires français ont participé aux études techniques préparatoires au projet, certains depuis le début en 2012. Une fois opérationnel, le SKA, ou « Square Kilometre Array », devrait permettre d’étudier la formation des toutes premières étoiles et galaxies peu de temps après le Big Bang, il y a 14 milliards d'années.

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Priscilla Dacher
Presse CNRS